L'assemblée générale du 22 novembre 2014

 Le samedi 22 novembre 2014, à la salle F. Guillierme située aux arènes, les membres du CTPR La Bouvina se sont réunis pour la 86ème Assemblée Générale Ordinaire.
Après avoir  souhaité la bienvenue et remercier la nombreuse assistance, la présidente Chantal Bourelly laisse présenter le rapport moral de la saison 2014 par Francis Trinquier et le bilan financier par Dominique Louvrier et Guy Bourneton.
L’Assemblée approuve les bilans et donne quitus  aux administrateurs de leur gestion.
La présidente rappelle les rendez-vous de l’intersaison
- Samedi 13 décembre 2014 déjeuner et visite de la manade Raynaud, suivi d'un repas pris en commun.
- Samedi 17 janvier 2015, découverte de la manade La Vidourlenque.
Puis, donne succinctement le programme taurin 2015 et annonce que la présentation officielle de la saison se déroulera à la salle de l'association ESCAL,  le vendredi  13 février 2014.

En cette fin d'année, nous nous félicitons d’accueillir comme membre du bureau Charles Chanat, qui après une carrière de raseteur, s'engage donc dans le bénévolat.


Pour conclure, la Présidente attire l’attention de l’assistance sur le dévouement de toute son équipe, l’aide précieuse des conjoints, époux et épouses et les remercie chaleureusement.

CG

Composition du bureau

Président d’honneur :       William Portal Maire et Conseiller du Canton

Présidente :                        Chantal Bourelly

Président-adjoint             Francis Trinquier

Secrétaire  :                        Christian Gervais

Secrétaire -adjoint :            George Guilhot   

Trésorière :                         Dominique Louvrier

Trésorier-adjoint :               Guy Bourneton

 

Conseillères et conseillers techniques :               

Annie Chabrier, Arlette Guilhot, Bernard Coulon, Boris Montbellet, Carole Marc, Chantal Antonin, Charles Chanat, Christian Privat, Eric Marc, Georges Goudet, Guilhem Arro, Henri Grau, Jean-Bernard Antonin, Michel Montbellet, Mireille Mayor, Philippe Puech, Thierry Cazolive.

Le carrousel de l'AG

Une journée au Grand Radeau le 13 décembre

Marguerittes, samedi 13 décembre, 8 h du matin. Un autocar démarre en direction d’un lieu sauvage du bout du monde : Le grand Radeau, situé entre les Saintes Maries de la Mer et la rive droite du Rhône.

Dès notre arrivée la magie opère. Sur la longue draille qui mène au mas un vol d’oies sauvages et un envol de faisans nous rappelle la quiétude du lieu. Un petit déjeuner plus tard, nous voilà sur la charrette à la rencontre des bêtes noires. Au bout d’un périple au travers de la sansouire et de la salicorne, un groupe de cavaliers apparait en poussant un troupeau au pas. Passant dans l’eau, tel une gaze, le groupe nous rejoint en suivant la charrette jusqu’au clos de tri.

Le travail du gardian est présenté avec le tri de quelques vaches, dont la mère d’Escamillo qui eu un quart d’heure d’anthologie dans les arènes de Marguerittes en 2011.

Marcel présente la famille, les gardians et parle de sa manade, de l’état sanitaire, des 1500 hectares de terre et des caprices du temps qui perturbe épisodiquement la sérénité du lieu.

Il est déjà midi, la promenade est terminée, il est temps de se mettre à la « cale » le long du comptoir pour siroter quelques breuvages bien de chez nous. L’heure passe vite et je dois partir en laissant mes amis déguster l’anchoïade et la délicieuse gardiane préparés par Maggy.

Je sais que l’après midi a été riche en activité : certains en charrette pour l’arribage des bious d’autres à la découverte du pays à pied….

Merci à la famille Raynaud pour leur disponibilité, leur gentillesse et leur sens de l’hospitalité

                                                                                                                                                             CB

Un samedi chez Momo

Des tapas comme s'il en pleuvait.

Une ambiance d'une convivialité absolue, d'autres diraient dans  la zénitude.

Quelques boissons pour accompagner ces tapas, sans exagération pour la majorité des convives.

Tout cela nous a amené assez tard dans la nuit fraiche de Saint Laurent d'Aigouze, mais personne n'a ressenti le froid (bizarre).

Il nous faudra revenir pour valider l'adresse, mais que Momo se rassure nous reviendrons car nous n'avons pas bien gouté le vingt cinquième tapas.

                                                                                                         CG

 


Survol avec la souris pour découvrir la face cachée

L'AG de l'association des CTPR

La grand'messe des clubs Ricard a eu lieu, comme chaque année et ce depuis 60 ans à Méjanes.

Plus de 280 clubs présents pour 1 000 participants, attentifs, disciplinés, fervents, serrés comme des anchois dans leur boîte, pour nous, sous la tente.

La soixantième, marquée par le discours de continuité et de maintien des traditions taurines, très bien accueilli par l'auditoire, avec une note de fermeté face aux "antis".

L’attribution des récompenses camarguaises reflétant l'avis général des présents, démontre la compétence du jury, à l'écoute des clubs  pour entériner ses choix.

Un temps mitigé nous a obligé à écourter le traditionnel apéro en extérieur et à nous rabattre sous la tente pour déguster un repas chaud et succulent, malgré le nombre de convives.

La messe est dite, on attend la 61ème.

                                                                          CG

Une invitation à la manade du Rhône

L'arrivée des invités se fait au fil de l'eau, du Gardon ou du Rhône, on ne sait pas vraiment. Pas d'importance, le café est chaud et les croissants croustillent à souhait.

Le soleil pointe le bout de son nez juste à temps pour animer le marquage de 4 à 5 veaux de taille respectable à la vigueur correspondante si on en juge par la difficulté à les tenir.

Le discours de bienvenue reflète toute la convivialité de ce manadier que l'on pourrait croire un peu farouche, mais qui se révèle amical, passionné, charmeur et à l'écoute des clubs taurins.

Le casse-croûte offert par le manadier ressemble plus à un repas qu'à un en-cas avec le saucisson, le jambon cru et cuit, les pâtés, le fromage de tête, la saucisse grillée, les fromages, le vin rouge et rosé.

Un moment de partage que seule la bouvine peut offrir.

Nous venons à ce rendez-vous avec plaisir qui semble être partagé. Nous reviendrons à n'en pas douter.

                                                                          CG

Le reportage du marquage

Le roman-photo de la matinée

Une journée à la Vidourlenque

La Bouvina fait sa sortie…..
Le club taurin et ses fidèles supporters auront bénéficié d’une météo clémente pour cette ultime échappée hivernale. C’est à St Laurent d’Aigouze, sur les terres de la manade la Vidourlenque que le maitre des lieux Thierry Tessier les a accueillis. Intarissable sur l’histoire du pays et sa nature, c’est au milieu des près entourés des fameux cocardiers de l’élevage où le célèbre Mithra profite d’une retraite paisible, que les participants de cette journée ont pus savourer l’éloquence de leur hôte avant de partager l’excellent déjeuner, autour d’un taureau à la provençale préparé par la maitresse des lieux.

                                                                          Eric Marc

L'apéro suivi du repas nous réchauffent

La fraicheur matinale nous accompagne

La présentation de la saison

Présentation de la saison 2015
Ce moment important, le plus peut-être, est un moment angoissant pour tout le bureau.
Ceux (celles) qui ont préparé l'apéritif, tartelettes, quiches, mini cakes et autres verrines, ceux qui ont bâti la saison et qui vont présenter leurs choix, ceux qui ont conçu la présentation et bien sûr, ceux qui vont l'animer.
Vous l'aurez compris, trac maximum.
Nous avons choisi de faire un mix de la présentation du  détail des courses et de petits films de bouvine.
Entre la naissance d'un poulain, les premiers jours des veaux et le résumé de la carrière de Charles Chanat, l'enfant du pays, la bouvine s'est montrée sous ses aspects cachés.
Une salle comble a partagé le verre de l'amitié qui s'est prolongé, signe de succès, concluant cette soirée de la plus belle des manières.
La programmation propose une palette des courses camarguaises, avec 3 complètes, 3 ligues, 2 courses de taureaux neufs et 6 concours de manades, avec des taureaux de plus de 20 manades.
Les raseteurs invités en alternance composeront des équipes homogènes, avec des raseteurs confirmés (Gaillardet, Ruiz, Oudjit, Pradier,...) et des espoirs (Robert, Soler,Sbiri,...).
La convivialité était là avec une belle affluence qui n'a pas boudé son plaisir.
Il ne nous reste plus qu'à vivre cette saison 2015 avec passion et aficion.
                                                            

                                                                                       CG

Radio roseaux

Une assemblée fort occupée

La soirée concert chez les "Métaleux"

Une soirée au Jet Pizza
Avant de nous diriger vers la salle de concert, c'est-à-dire le restaurant, il nous a fallu prendre quelques forces du coté des arènes.
Petit apéro agrémenté de quelques verrines et autres tartelettes échappées de la présentation de la veille.
A notre arrivée, la salle était déjà chauffée par le groupe de "métaleux" qui allait nous faire vibrer toute la soirée.
Pour vibrer, nous avons vibré au son des guitares électriques, avec ou sans caisse de résonance, des basses, des amplis et j'en oublie.

Certains courageux se sont lancés sur la piste, histoire de s'électriser un peu, ou de se décoiffer pour dautres.
Nous supposons que la soirée a été sponsorisée par l'oto-rhino du coin.
Avant de nous séparer, il a fallu faire une halte aux arènes pour effectuer le retour au calme nécessaire suite à cet effort auditif.
Deux heures du mat', on peut se séparer.

Sacrée soirée                                                                                       CG

Une Saint Valentin comme vous ne l'avait jamais vue

Les sponsors sont de sortie…..

Une escapade matinale relativement humide pour les quelques mécènes du club taurin venus partager ce moment de convivialité chez le manadier Daniel Didelot à Bellegarde.

Les précipitations météorologiques n’ayant pas permis de rendre la traditionnelle visite de courtoisie au bétail, c’est donc tout naturellement sous la loupio que chacun aura pu trouver refuge.

Après avoir allumé un feu revigorant les plus frileux, le grill prit place afin d’offrir la sacro-sainte saucisse grillée à tout les convives, de quoi ragaillardir les esprits et les langues, qui continuèrent de se délayer autour du non moins conventionnel apéritif offert au siège administratif.
                                                                               Eric MARC

Une fraicheur matinale chez Didelot

Retour chez nous, un grand classique

Une sortie en pays des plus abouties.

Cette matinée n'était pas inscrite à notre programme cette année.
Son origine mérite d'être contée. Le jour de la présentation de la saison, au cours d'un échange entre le secrétaire du club et une bénévole de la manade St Pierre, nous découvrons une grande passion bouvine chez cette bénévole .
Originaire d'Orléans, venue chez nous pour des raisons professionnelles, elle tombe dans la Camargue comme d'autres sont tombés dans un chaudron.
Sa passion, son histoire, son investissement méritent d'être entendus lors d'un interview qui sera posté sur le site du club.
Rendez-vous est pris sur le pays en programmant une sortie hivernale.
Nous somme accueillis par le "Pelot" et son épouse, qui nous amènent visiter la manade, après avoir partagé avec nous, le casse-croûte traditionnel sur la "clède" de la charrette.
Trois moments privilégiés, la présentation des taureaux, "l'arribage" des vaches et la découverte des jeunes.
Christian St Pierre nous a dévoilé une facette de sa personnalité de très bon aloi : verve dans le propos, partage de sa passion, chaleur de l'accueil.
A cela vous mettez un grand brin de féminité amené par Patricia, son épouse,  et vous obtenez un couple d'hôtes au petits soins avec tout le monde.
Le temps, un peu vif mais ensoleillé, a contribué à faire de cette sortie un grand moment de communion bouvine.
Nous partons à contre-cœur,  mais avec des images plein les yeux et le sentiment d'avoir vécu une de nos sorties d'hiver les plus abouties.
Seul grand bémol, nous n'avons pas été en capacité de faire l'interview de Julie, affaire à suivre.

                                                                               CG

Les taureaux

Les vaches

Les jeunes

Le casse-croute classique du gardian

La visite de la manade

Un anniversaire en "Rose et Blanc"

Journée particulière que ce 29 mars 2015, où nous fêtons les 40 ans de la manade Jean-Claude Blanc. Journée placée sous les couleurs "rose et blanc" de la manade, couleurs qui nous accompagneront toute la journée.
Nous commençons par aller chercher les "gros" en pays, mais pour cela il nous faut plusieurs ingrédients jugés indispensables : petit déjeuner, vins rouge et rosé, chocolat et la promenade en charrette, qui pour l'occasion est une remorque.
Retour à Marguerittes où nous arrivons avant le char, mais de très peu. L'apéro est là suivi d'un repas entre amis au cours duquel nous refaisons la saison 2014 et faisons des plans sur la comète sur celle à venir.
L'heure de la course, c'est le moment de déployer le Rose et le Blanc, tout le bureau s'y met, y compris de président de course. Un souvenir de cette journée est offert au couple de manadiers en piste par notre charmante supportrice de la devise et son compagnon.
Bonne course de rentrée.

                                                                               CG

Les cocardiers à la sortie de l'hivers

Le déjeuner comme si vous y étiez

L'apéro et le repas de l'amitié

On est prêt pour la course

La Féria des Embiez du 26-27 juin

                                                           La Féria des Embiez avec le club taurin, c'est comme cela qu'on la voit.
                                                           Petit aperçu, la suite bientôt.

 

 

 

 

Allez, soyons un peu sérieux.
Faisons dans la chronologie.
On s'embarque.

On débarque et direction la calanque.
Apéro, repas sur le pouce (gros, pas le pouce).
Tout (hormis les cacahuètes) a été réalisé, fabriqué, cuisiné par notre

présidente enfin de retour de son escapade lointaine.
Nous ne lui donnerons plus de bon de sortie.
2 quilles de Ricard, autant de wisky, sans parler des cubis de blanc, rosé et rouge.

On prend possession des chambres et autres studios, on accueille les Arlésiennes et bis repetita,

on prend l'apéro sur le quai d'honneur.
Tout (hormis les cacahuètes et les anchois) a été réalisé, fabriqué, cuisiné par notre présidente

toujours de retour de son escapade lointaine.
2 + 2, ça devient lassant ce chiffre.

 

                                   2 heures après (encore 2), on se dirige vers les restaurants où l'on découvre des tables propices aux

                                   confidences. Magnifique cochonnet au feu de bois. Rien à redire, on s'est régalé.
                                   Un peu de musique, de danse et au lit.
                                   Demain sera un autre jour.

                                                                               Dimanche matin, un peu de bouvine avec l'abrivado des Embiez.
                                                                               Départ au canon, svp. Allure de sénateur, c'est à dire au pas, mené par les

                                                                               arlésiennes en amazone.
                                                                               Ne pas juger cette Féria à l'aune des nôtres, ils travaillent pour les traditions

                                                                               en direction des touristes.
                                                                               Pour nous remettre de ce moment fort sympathique, nous décidons de prendre

                                                                               l'apéro. On change un peu et on fait un 2, 3, 2.
                                                                               2 heures, 3 ricard, 2 wisky.

Direction le resto et l'aîoli traditionnelle. On met le waî, pardon,

on réveille un peu les autres convives et on déguste ce qui reste.
Tant pis pour nous, mais des apéro comme celui-là, on en réclame.
Une petite vidéo, pot pourri de ce moment là.

 

                                                                                  CG

Le pot pourri de l'apéro

Le waï au resto

L'intégrale de l'apéro

La ferrade nocturne à la manade Martini

Le départ, en car, ce fait pour une fois au soleil et en plein après midi. Facile

Une ferrade, avec des veaux de l'année, c'est  à dire de 6  9mois, c'est toujours attendrissant.

N'est ce pas Mesdames ?

Et Jean Petit danse toujours

La ferrade pour se mettre en jambes

L'apéro est toujours le moment le plus délicat à gérer. On ne sait jamais ce que l'on va choisir. Ricard, riCard ou ricarD.

Le choix est délicat et toujours long, on taste à tout.

La gaze en live

Un Marché de Provence revisité

Un repas de Camargue sans daube de taureau, n'est pas un repas, d'autant plus que celle-là était particulièrement bonne.

J'en connais certain qui en ont pris 3 fois.

Le spectacle est autant dans la salle que dans les allées de la salle.

Il est difficile de suivre ces deux aspects de la soirée qui finira fort tard dans la nuit étoilée.

Un concert de batterie en plastique

La gaze en musique

La ferme de Beauregard

La sortie automnale la plus lointaine du club taurin, depuis quelques années, si ce n'est la plus lointaine de tous les temps.
"La ferme de Beauregard" est située sur la commune de Marguerittes et nous a donc permis de nous y rendre suite à un trajet de 10 mn, pour les plus lents.
Cette sortie était un prétexte pour découvrir une ferme bio d'élevage de cochons et de volailles et ses produits vendus à la ferme et sur le marché depuis de nombreuses années.
Le soleil nous a accueillis pour nous permettre de prendre l'apéritif et le repas concocté par le patron, à l'extérieur.
Les convives n'ont pas boudé les diverses charcuteries et autres plats cuisinés proposés.
La visite de la ferme avec les explications adéquates, nous ont permis de mesurer la difficulté du bio et, ce qu'on appelle communément "l'élevage de plein air".
Toute la basse-cour était présente pour notre plus grande curiosité. Du cochon, au canard, en passant par les pintades et les ânes, ils étaient tous là.
Une sortie originale, fraîche et conviviale, qui nous a fait parler d'autres choses que de taureaux, de raseteurs et de manadiers.
Bon samedi d'octobre.

L'apéritif autour des tonneaux

Le repas convivial et sans chichis

La visite de la ferme

La visite de la ferme

Le repas convivial et sans chichis

L'apéritif autour des tonneaux

Assemblée Générale Ordinaire

Le samedi 18 novembre 2015, à la salle située aux arènes, , les membres de l’association CTPR « La Bouvina » se sont réunis pour leur l’Assemblée Générale Ordinaire.

Après avoir souhaité la bienvenue à la nombreuse assistance et excusé les absents retenus par le téléthon, la Présidente Chantal Bourelly laisse présenter le bilan moral de la saison 2015 par Christian Privat et le rapport financier par Guy Bourneton.

 L’Assemblée approuve les bilans et donne quitus  aux administrateurs de leur gestion.

La Présidente rappelle les rendez-vous de l’inter-saison

-          samedi 12 décembre 2015 déjeuner et visite de la manade BON

-          WE du 23/24 janvier 2016, à définir

-           samedi 6 février 2016, déjeuner et visite de la manade CAVALLINI

et donne rendez-vous le 12 février 2016, à la salle de l’ESCAL, pour la présentation de la temporada 2016.

Comme tous les ans, le conseil d’administration peut être remplacé au tiers et les membres sortants sont rééligibles. Malheureusement, cette année, nous avons le regret de devoir accepter la démission de Dominique Louvrier et de Bernard Coulom. Toute l’équipe ce joint à moi pour les remercier de leur investissement durant toutes leurs années de présence. En contrepartie, nous avons le plaisir d’accueillir Charlène Ben Chérif et Eric Bruguier.

La Présidente fait part des problèmes que traversent la FFCC et souhaite vivement que le groupe de travail désigné trouve et propose à notre Ministère des solutions  pour que perdure nos traditions. Elle sait pertinemment qu’il faudra mettre la main à la poche et  rappelle une nouvelle fois que sans l’abnégation et la « Fé » qui anime les personnes qui constituent un club taurin ce serait la fin de nos manifestations. Il n’y aurait peu ou pas de course camarguaise, plus de découverte de taureaux et de jeunes raseteurs. Question : où en serait la « Vitrine » ?

Pour conclure, la Présidente remercie chaleureusement toute son équipe pour leur dévouement ainsi que toutes les personnes qui entourent et soutiennent  le club taurin…. La Municipalité, les sponsors et tous les adhérents

                                                                                                 CB

Préparation

L'AG

L'apéritif

Le repas

A la découverte du domaine Jacques Bon

La sortie à la manade Bon est un voyage en Camargue, dans le temps. Un voyage qui  nous fait découvrir les facettes de ce domaine qui prend naissance dans l'élevage de moutons, pour offrir actuellement des prestations haut de gamme dans le tourisme hôtelier, en passant par les traditions taurines.

Bon, revenons à nos moutons, pardon, à notre sortie du jour dans la Camargue profonde. Le trajet en car, face au soleil levant, est un enchantement pour les yeux, jusqu'au feu rouge du Sambuc.

La manade Bon est à portée de fusil, le temps de descendre du car, de manipuler deux ou trois tables, et le déjeuner se déroule dans la bonne humeur, comme si nous n'avions rien mangé depuis une semaine.

La visite du troupeau nous fait découvrir des bêtes en pleine forme dans un pays de 200 hectares d'un seul tenant. Le manadier sur une charrette, le "Pélot" sur l'autre, nous expliquent les origines de la manade des premières bêtes, aux courses de 2015, en passant par le temps des royales.

Le cochon à la broche nous attend sagement, pendant que nous prenons un apéritif propre à nous ouvrir l'appétit. Le repas est partagé dans un brouhaha sympathique ponctué par la traversée du cochon embroché que nous allons manger.

La visite du domaine nous fait découvrir la 'cathédrale" de la bergerie, avec un toit de 1 100 m² qui abritait habituellement 1 500 brebis, pouvant aller jusqu'à 4 000 au départ de la transhumance.

L'hôtel, la piscine, les communs, tout est fait pour accueillir les clients dans un cadre revisité par l'architecte de la famille. Une réussite à n'en pas douter.

A la nuit tombante, le car nous attend, la salle du club taurin nous paraît subitement minuscule après la bergerie.

Sacrée journée.                                                                                                                                                 CG

Les bêtes

Le déjeuner

Le repas

L'apéritif

Le domaine

Un pur moment de poésie

Le voyage